Quel est le point commun entre l’Hôtel Plaza-Athénée, le Parlement Européen de Strasbourg et les enseignes Super U ? C’est très simple : tous les trois sont clients de la société Politec. Créée en 2003, cette entreprise a tout de la success story à l’alsacienne. Spécialisée dans la commercialisation de machines professionnelles à destination des métiers de la restauration et des métiers de bouche, elle a su pousser l’innovation toujours plus loin grâce à son fondateur, Serge Perrault. En 2019, ce dernier décide de passer le flambeau et de voguer vers de nouveaux horizons professionnels. Il a choisi Clic Entreprise pour assurer la cession de l’entreprise.

Politec en une minute…

« Cette entreprise, je l’ai créée en janvier 2003, avec pour tout financement un prêt de 3500€ contracté auprès de la Banque Populaire. Avec ce montant, j’ai pu acquérir une machine pour polir l’argenterie. Le nom de Politec est d’ailleurs directement inspiré de cette polisseuse des débuts !

J’ai commencé l’aventure dans la maison de mes parents dans le petit village de Fegersheim, non loin de Strasbourg. Tout est parti de ma chambre d’enfant… J’y suis d’ailleurs resté pendant 5 ans, et nos locaux actuels sont restés dans ce village. Outre les technologies de polissage, j’ai vite diversifié mon activité : je recherchais d’autres produits atypiques, comme les fumoirs (pour la viande et le poisson), les machines à faire des glaces… Mon objectif : sortir un nouveau produit par an. Ma quête : quand mes clients disent « j’aurais besoin de ça », je m’occupe de trouver le « ça » !

Alors, pourquoi vendre ? Tout simplement parce que cela ne me plaisait plus ! L’entreprise est devenue trop grande pour moi. Je préférais le côté start-up des débuts. J’ai créé la société en 2003 : comme un enfant, elle atteindra bientôt sa majorité. Elle peut désormais se débrouiller sans son père ! » Avec un chiffre d’affaire de 5 millions d’euros et 12 salariés au compteur, Politec a en effet de beaux jours devant elle.

Parlez-nous de l’avant Politec !

« Ce n’était pas mon premier coup d’essai dans l’entrepreneuriat. J’avais d’abord monté une société pour venir en aide aux particuliers dans les différents processus de vente : j’avais constaté un déséquilibre dans la négociation, et d’autant plus face à des professionnels rompus à la vente. On m’appelait Monsieur Moins ! Ce petit côté Robin des Bois a d’ailleurs fait le buzz à l’époque : on m’a vu dans Capital, Canal +, TF1, France 2, etc. Mais le projet n’a pas fait long feu : j’ai donc recentré mes forces sur un projet de logiciel de golf, qui demandait beaucoup de ressources. Après cela, j’ai créé Politec. Jamais deux sans trois ! La suite, vous la connaissez… »

Et l’après Politec ?

« Je viens de finir la passation avec le nouveau gérant. Je reste disponible en support si besoin. Je n’ai pas forcément d’idée de ce qui m’attend ou ce dans quoi je vais me lancer. Mais je sais ce que je ne veux pas : être rentier et retraité ! J’aimerais redémarrer quelque chose : j’ai aimé les débuts de Politec. Au début, tout est neuf, tout est motivant. J’ai aimé cravacher !
Reprendre une entreprise ? Pourquoi pas ! Seule condition : que ce ne soit pas un commerce. Je compte évidemment sur Clic Entreprise pour me faire des propositions… »

Justement, pourquoi avoir fait appel à Clic Entreprise ?

« C’est mon expert-comptable qui m’a recommandé leurs services lorsque je lui ai parlé de mon projet de cession d’entreprise. Il m’a dit : « Va les voir, ce sont les meilleurs. ». Du coup, je n’y ai pas cru… mais toutes les belles promesses du début ont été tenues !
J’ai apprécié leur discrétion : lorsque l’on vend son entreprise, il est évident que personne ne doit être au courant. Mieux vaut donc faire appel à quelqu’un qui a un réseau. Et c’est le cas pour Clic Entreprise.

Leur point fort ? L’efficacité ! Mon dossier était lourd d’un point de vue juridique et du côté des banques. Pourtant, mon consultant n’a rien lâché et est allé jusqu’au bout. Comme promis. »

Dans la vie, pourquoi faut-il oser entreprendre ?

« Mieux vaut être déçu que frustré ! Il faut essayer : je préfère regretter plutôt qu’avoir des remords. On a tous envie de liberté, il ne faut pas hésiter à se la créer. »

Comme eux, #OsezEntreprendre

Politec
2 Rue de la Verdure
67640 Fegersheim
http://www.politec-france.com/